Nous l’avions dit, nous l’avons fait.
En effet, notre ambition 2010, dont nous vous avions parlé lors de l’assemblée générale de novembre 2010, était d’organiser une sortie de 2 jours regroupant une vingtaine de voitures.
Comme d’habitude, les inscriptions ont été longues à venir, ce qui n’a pas rendue facile la tâche de notre ami Jacques, mais elles se sont soudain accélérées à l’approche de leur clôture. C’est au final 25 véhicules et 49 participants qui ont répondu à l’appel du TAR.
Nous l’avions dit, nous l’avons fait. En effet notre ambition 2010, dont nous vous avions parlé lors de l’assemblée générale de novembre 2010, était d’organiser une sortie de 2 jours regroupant une vingtaine de voitures.
Comme d’habitude, les inscriptions ont été longues à venir, ce qui n’a pas rendue facile la tâche de notre ami Jacques, mais elles se sont soudain accélérées à l’approche de leur clôture. C’est au final 25 véhicules et 49 participants qui ont répondu à l’appel du TAR.
Contrairement à l’habitude, le départ ne fut pas donné sur le parking de la gare, pour cause de la traditionnelle fête du flan organisée par la Mairie de TRIEL, mais du Parc aux Etoiles, haut lieu de l’astronomie en Ile-de- France.
Dès 8 heures les participants s’étaient regroupés sur le parking, et chaque équipage se voyait remettre un roadbook ainsi qu’une plaque de rallye sur laquelle nous pouvions lire en gros caractères « la Grande Vadrouille des Tarés ». Tout un programme…
Départ du premier véhicule à 8h30 précises pour un parcours matinal de 125 km, au cours duquel nous traversons successivement VETHEUIL et sa superbe église, la ROCHE-GUYON dominée par les ruines de son célèbre château au pied desquelles le château (d’époque plus récente) a abrité le maréchal Rommel pendant la dernière guerre , VERNON, puis la ville DES ANDELYS dominée également par les vestiges du terrible Château Gaillard, avant de nous regrouper au km 86 à la côte des 2 Amants. Après quelques centaines de mètres à pied dans les sous-bois, nous découvrons un superbe panorama avec en toile de fond la vallée de la Seine.
Nouveau départ cette fois vers la charmante petite ville de LA BOUILLE, en passant par AMFREVILLE SOUS LES MONTS et CRIQUEBOEUF. Un parking nous est réservé à LA BOUILLE, près du bac qui permet aux piétons, ainsi qu’aux voitures, de traverser la Seine. Direction le restaurant « la Maison Blanche » où nous goûtons aux joies d’un déjeuner gastronomique.
Vers 15 heures, dernier départ de la journée pour une centaine de kilomètres sur de charmantes petites routes de campagne longeant la Seine, traversant le Marais Vernier et ses magnifiques maisons aux toits de chaume, et qui nous mènent à HONFLEUR, et sa foule de visiteurs déambulant le long du port. Encore une poignée de kms, et nous voilà arrivés au Clos Saint-Gatien, hôtel 3 étoiles avec piscine (eh oui, on ne se refuse rien), où là encore un parking privé est réservé à nos chères autos. Quartier libre et repas vers 20 heures.
Après une bonne nuit de repos, nous voici d’attaque pour repartir, non sans avoir absorbé un copieux petit déjeuner. Départ donc à 9 h pour quelques kms afin de découvrir le charmant petit village de BEAUMONT EN AUGE, ses belles maisons normandes et son point de vue remarquable. Après cette courte halte, nous traversons successivement PONT-L’EVEQUE, CORMEILLES, SAINTGREGOIRE DU VIEVRE et faisons une halte au BEC HELLOUIN afin de visiter sa magnifique Abbaye fondée en 995 par l’abbé Herluin, partiellement détruite lors de la guerre de 100 ans, reconstruite une 1ere fois à la fin du XVème puis au XVIIIème siècle.
Cet arrêt fut très apprécié par nos amis Sandra et Didier Simon car leur Alfa « rendit l’âme » au pied de l’abbaye… Heureusement ils ne furent pas abandonnés par les Tarés et notre Mac Gyver national, après avoir dépanné la MG de notre président qui avait bêtement perdu son pot d’échappement en voulant se garer sur un parking provisoire (le Bec Hellouin accueillait une manifestation et ses rues et parkings étaient plus qu’encombrés…) a détecté le problème de l’Alfa : pièce de l’embrayage cassée net. Il fut possible de trouver un garage ouvert ce dimanche qui accepta de prêter du matériel pour que Patrick puisse effectuer la réparation. Il faut dire que le garagiste appréciait beaucoup les voitures anciennes !
Huit Tarés attendirent donc avec les Simon que la réparation soit effectuée et ils furent accueillis par une belle ovation lorsqu’ils arrivèrent, une heure plus tard, à l’ancienne auberge de MENNEVAL où tout le reste de la troupe déjeunait.
Bel exemple de solidarité !
Nous repartons vers 15 heures pour notre dernière étape d’environ 140 kms qui, toujours par de petites routes ombragées et les traversées de BEAUMONT LE ROGER, CONCHES, DAMVILLE, IVRY LA BATAILLE et LONGNES, nous ramène à notre point de départ.
Arrivée sous la pluie (alors que le temps nous avait assez souri pendant les 2 jours) au parking du CES de Triel où eu lieu la remise des prix.
La solidarité n’est pas un vain mot au sein du TAR, car même pour répondre aux questionnaires les tarés se sont entraidés…ce qui n’a pas facilité la tache des organisateurs qui ont du avoir recours à une question pour départager les 3 ex-æquo, le podium est le suivant :
1. Le couple Gicquel
2. Le couple Bierling
3. Le couple Simon
Chacun des 3 couples gagnants s’est vu remettre un ouvrage, sur quoi ? Les voitures bien entendu…
En résumé, un super week-end où personne ne s’est perdu en route grâce à la précision du road-book concocté par Anne.
Compte-tenu du succès de ce week-end, nous projetons déjà une sortie de 2 jours en 2011. Mais nous aurons le temps d’en reparler.
Jean-Pierre KERLIING
Malgré un temps très maussade, de belles voitures sont venues sur l'aérodrome des Mureaux pour la fête de l'aviation et de la voiture de prestige...
Les TAR'és se sont vraiment éclatés ce week-end. Encore une belle brochette ont participé ce dimanche à la course de côte de Chanteloup
Superbe cette sortie à Lyons-la-Forêt où plus d'une quinzaine de TAR'és se sont défoulés dans la course de côte.
La journée s'est terminée par un frugal buffet avec une centaine de convives ravis de cette soirée bien arrosée.
Café, croissants, plaque, road-book ; ne manquaient à l'aurore que les calembours d'Alain, ciselés comme un bas de caisse d'Alfasud. Le briefing vient à point pour rassurer les inquiets à ce sujet ...
Avatar et framboise
Départ 9h30 : avec ma navigatrice de fille, nous nous perdons déjà en conjectures sur le fléché allemand ou le en-avril-ne-te-découvre-pas-d'un-fil d'Ariane tandis que la cohorte s'ébranle, non sans être passée devant le gardien du temple, qui nous flashe à 0 km/h ...
Sitôt franchi le Rubicon, premier intermède rural : suivi par une Ferrari, une Mini, une Mgi et une Tutti Quanti, je fais trois fois le tour d'un rond-point avant de trouver ma route, et hop tout le monde m'emboîte le pas pour un remake post-moderne du Manège enchanté, tournicoti-tournicoton !
"A un moment comme je roulais à côté d'un laitier, je lui ai dit : "Dis-moi laitier... ton lait va tourner ?
- T'en fais pas ! je fais mon beurre ...
Je lui dis : Dis-moi ? Qu'est-ce-que c'est que cette voiture noire là, qui ralentit tout ?
- C'est le corbillard, il tourne depuis quinze jours !" (Raymond Devos)
Défilent Bures, Andelu, Garancières, Behoust, et autres antiquités, et soudainement, après un pif-paf, pof !
Crevaison ... Et je ne la vois pas mentionnée dans le road-book; vais-je me plaindre Alain ou à l'autre ?
Plainte est donc déposée, et pour faire court, voici la conclusion du juge d'instructions (routières) Jacques Benbassat :
Attendu que le sieur Christian Monbet, pour gagner poids et place, avait soigneusement remisé la roue de secours à la cave, inspiré par "Avanie et framboise" de Bobby Lapointe ("Elle avait peu d'avantages / Pour en avoir davantage / Elle s'en fit rajouter / A l'institut de beauté")
Attendu qu'une bombe anticrevaison c'est pratique, léger, voire sexy, mais peu efficace quand la valve a disparu à l'intérieur du pneu
Attendu que Caroline Monbet, fille du plaignant, possède moult vertus mais pas celle de vulcanisation.
En conséquence, condamne le sieur Monbet et sa descendance à rester plantés au bord de la route jusqu'à ce que Philippe en Mercedes 500 vienne les tirer d'affaire.
En effet, après une pause roborative, à midi au Crépuscule (si si), Philippe et sa femme nous conduisent chez moi à Pontchartrain chercher le précieux sésame de secours; quelques tours de croisillon plus tard, nous pouvons reprendre le dérouelement de la journée.
Houdan, Courgent, St Martin-des-Champs, fléché allemand, Jérimanan (oui c'est vrai on s'est peu égaré, on cherchait un moulin tagué en vert avec des ailes d'avion); salut amical mais bref aux montécalvétiens, pour une arrivée triumphale, trielloise et tris en retard ... En dehors des délais, dont nous savourons quand même la beauté cachée.
Rallye du Houdanais digest : bonne humeur, ciel clair ou pneu s'en faut, balade campagnarde, une vraie carte postale de la SoliTarité !
Christian Monbet de TRM6
A l'invitation de notre "McGuyver" (alias Patrick GICQUEL) une bonne douzaine de TARés sont venus avec leurs autos visiter ce Lycée Pro d'où sortiront nos futurs "DOCTEURS s'bagnoles" ...!
Tout d'abord coté Mécanique & Electronique :
Pendus aux explications claires et passionnées de notre ami, nous découvrons son univers : atelier + salles de classe remplies de machines toutes aussi bizarres les unes que les autres !
Les questions fusent :
Des élèves appliqués a refaire un faisceau de centaines de fils multicolores pour un 4X4 destiné à courir attirent notre intérêt.
Patrick les manage avec patience ; en fait les pannes sont crées par le Prof et sont à résoudre pendant les cours ...
Plus loin un autre jeune règle le moteur de la Muréna du Chef, un autre monte des pneus sur une 4L destinée à l'Afrique.